■ Alone

A l'heure où je devrais normalement m'adonner aux joies de l'apprentissage de mes cours, ainsi qu'à peaufiner mon exposé sur la Catalogne, je préfère me prélasser à écrire ici. Aujourd'hui, c'était la rentrée, à mon grand dégoût, moa qui aurait nettement préféré rester en vacances, et ceci jusqu'à la fin de mes jours. J'ai le moral dans les chaussettes, et malgré l'odeur de from'ton (à ce qui paraît) qui s'émane de mes pieds, il a pas l'air de vouloir s'en aller. Les vacances ont été trop courtes . Pour changer, j'ai envie de dire. Et tu me manques, beaucoup. C'était bient tous les deux, mais trop court. Tu m'as laissé un goût amère de trop peu. Pour une fois qu'on ne se tirait pas dans les pattes comme des gamins de premier cycle. Le jour de l'an était chouette aussi, même si en fin de compte je ne connaissais personne . Hormi toi et frey . dans cette cave à vin d'Aubière, une quarantaine de personnes, des centaines de bouteilles vidées par les uns et les autres, des innombrables joints fumés. Le stop dans la rue & les croissants à 4h30 du mat. Et surtout l'après-fête (très) dur pour moa. C'est ça de ne jamais être malade pendant l'année, on paye bien à un moment ou un autre. Quoique j'ai pas mal été gâtée cette année quand j'y repense.   Il fait froid dehors. Un froid glacial malgré ce putain de ciel bleu hivernal. Tout est gelé, de la petite feuille qui se meurt sur le sol, à la plus fine ramification des arbres. JE DETESTE L'HIVER . ■